C’est avec plaisir que les bénévoles ont participé à l’opération. Nombre d’entre eux ont fait ressortir leur volonté de rendre à la montagne une partie de ce qu’elle leur donnait, de contribuer à la protection de la faune et la flore, et d’améliorer l’aspect visuel et sécuritaire des lieux. Ils ont aussi apprécié l’ambiance du groupe et les rencontres permises à cette occasion. En effet, si certains reviennent d’année en année, d’autres participaient là à leur premier chantier de ce type.
« Sur les chantiers, le travail est très dur, mais il y a toujours une atmosphère d’amitié, de joie, un enthousiasme. C’est aussi une satisfaction de voir que le travail est productif », explique Maria-Chiara, venue de Rome pour participer une fois de plus à un chantier MW.
« Ce que j’ai apprécié sur le chantier : ça s’est très bien passé, chacun fait comme il peut, comme il le sent, en fonction de son gabarit et de sa force », constate Chrystelle, pour qui c’était le premier chantier. « On rencontre plein de gens, qui nous permettent aussi de mieux découvrir le coin en nous apportant des connaissances sur la zone où l’on est. »
En parallèle au chantier, de l’information sur celui-ci et de la sensibilisation à ses enjeux a été délivrée aux randonneurs de passage, curieux de savoir ce que faisaient « toutes ces personnes munies de gants ». L’occasion de communiquer autour de la question du démantèlement des installations obsolètes.