Les membres de MW agissant par un amour commun de la montagne, les sorties nature sont toujours une partie intégrante de nos rencontres annuelles.
Le vendredi après-midi s’est tenu un temps dédié avec quelques-uns des membres de la Grande Cordée de Mountain Wilderness.
Créée en 2023, ce collectif rassemble et fédère des femmes et des
hommes engagé·es qui soutiennent la cause portée par notre association.
Artistes, athlètes, journalistes, philanthropes… ensemble, les membres
de la Grande Cordée participent à faire connaitre l’action de Mountain
Wilderness et faire rayonner les messages en faveur des territoires de
montagne.
Les rencontres annuelles de Mountain Wilderness se sont tenues à ZeCamp,
Hôtel à Valeur Sportive Ajoutée. Le choix du lieu n’était pas fortuit !
En effet, créé et tenu par par Marie Dorin-Habert, membre de la Grande
Cordée, nous avons pensé créer une synergie entre nos membres. C’est
ainsi que Marie nous a emmené à la rencontre des enjeux du territoire du Vercors lors d’une balade sous le soleil
avec vue sur Corrençon et la Grande Moucherolle, suivie d’un temps
d’échange sur les prochaines actions fortes à venir pour l’association.
La journée du vendredi s’est clôturée par un temps d’apéritif partagé
entre les membres de la Grande Cordée et les adhérents arrivés pour la
suite du WE. Intimité et échanges stimulants ont été au rendez-vous pour
ce premier temps fort du WE.
La majorité des participants au week-end sont arrivés sur place le samedi matin, juste à temps pour enfiler des baskets et partir à la découverte du territoire.
Un groupe s’est formé pour participer à une sortie naturaliste accompagnée par Jean Andrieux, garde de la Réserve naturelle des Hauts-Plateaux du Vercors.
C’était l’occasion d’aborder les enjeux de cohabitation avec la faune
sauvage, le droit de chasse sur la réserve, de la (sur)fréquentation,
ainsi que le rôle des Réserves en matière de protection, de gestion de
sensibilisation...
Le deuxième groupe s’est rendu à l’ancien tremplin de saut à ski de St Nizier du Moucherotte, reliquat des JO de Grenoble de 1968. C’était l’occasion d’échanger sur la candidature des Alpes françaises aux JO d’hiver 2030
et tous les enjeux associés : enfermement des imaginaires dans le
tout-ski, aménagements lourds à vocation d’usage unique ou presque.